Vous reste-t-il une petite place dans vos bagages pour 4 bons polars ?

Sur Entrée Livre, on vous offre la possibilité de gagner 4 polars dont deux de Franck Thilliez et deux de John Connolly.


Pour cela c'est très simple il suffit de cliquer ici pour accéder au quizz.

Ces polars pourraient être de bons compagnons pour vos vols longs courriers, vos trajets en autocar ou en train, les heures d'attente dans les bouchons. 

Un récit qui tient en haleine, où les heures défilent sur la montre mais où nous, nous sommes hors du temps, accroché aux mots qui se frayent un chemin dans notre esprit.

L'histoire nous prend au ventre, on palpite, on s'exclame, on retient son souffle. 

Les yeux ne clignent plus, on enchaîne les lignes comme un TGV traverse les paysages. 

Les images s'affolent, l'angoisse monte, tout tourbillone.

La dernière page se profile, le dénouement est proche.

Notre corps à voyager, notre esprit s'est évadé.

En août on ralentit ....

La pause estivale évoque notre envie de repos, elle est un prétexte pour ralentir, prendre le temps, se déconnecter du tourbillon quotidien. 

Repli sur soi, retour à la maison d'enfance ou de vacances, aux sources, à l'essentiel. 

Les livres nous accompagnent dans cette quête d'équilibre et d'évasion.

Voici une liste de livres à savourer sous le parasol :

Et pour nous aider à déconnecter, Entrée Livre nous propose un week-end pour deux quelque part en France selon nos envies. 

Pour participer, rien de plus simple, faîtes comme moi inscrivez-vous sur Entrée Livre et tenter la chance d'être tiré au sort.

Et en attendant de faire mes valises, je vais aller chercher des idées de lectures sur Entrée Livre. 

Car à défaut de pouvoir voyager tout de suite je peux quand même m'évader. 

Un livre sous le bras et notamment le dernier Guenassia "la vie rêvée d'Ernesto G", avec dans les oreilles un son frais et cristallin celui de Mina tindle. Ecoutez! Vous allez aimer !

Allez bon week-end et n'oubliez pas de garder les doigts de pied en éventail :).

Poursuivre des ombres...

Rien ne s'oppose à la nuit de Delphine de Vigan.

Ce livre m'a marqué par son style, sa forme, l'histoire. 


L'auteur s'y livre corps et âme. ça a fait écho en moi. 


Est-ce une délivrance ? 


Se délivrer du poids qu'on a porté toute sa vie. 


Est-ce que l'écrire le rend plus supportable. Est-ce qu'en écrivant on pardonne ? On pardonne à sa mère, aux souffrances qu'elle n'a pas su gérer, à ceux qui les ont occasionnés, à celles qu'elle nous a léguées....

Ce livre m'interroge sur le pouvoir de libération de l'écriture. 
Il me rappelle aussi à ce qui nous lie, les liens familiaux dont on hérite et tout le bagage émotionnel qui va avec. 


Est-ce un risque de se livrer de la sorte ou une force ? 


On poursuit des ombres, pour les laisser s'évanouir non pas dans l'oubli mais en pâture sur les étales de librairies.


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